À propos

Que signifie le nom de ce site, « Préludien » ?

Le nom de ce site fait référence à Roger Chomeaux, dit Chomo, fondateur du village d’Art Préludien en France. Ce lieu singulier est constitué de bâtiments et d’œuvres réalisés à partir de matériaux de récupération, d’objets trouvés dans des déchetteries ou ramassés en forêt, transformés et sublimés en peintures et sculptures de toutes sortes.

Artiste pauvre et marginal, Chomo était un homme authentique, à la fois poète, architecte, peintre, sculpteur et apiculteur. Sa vie, sa lucidité, sa simplicité, sa poésie, ainsi que sa vision de l’art et de l’homme m’ont inspiré l’énergie nécessaire pour créer ce modeste site.

« Préludien » est un mot inventé par Chomo, dérivé de « prélude », qui signifie, au sens figuré, le fait de « commencer, faire une chose comme essai avant d’en entreprendre une autre plus importante ». J’ai voulu préserver cette approche « préludienne », mais dans des domaines qui me sont plus familiers : partir de peu, assembler des fragments, des histoires, des réflexions, et les partager pour insuffler une idée du Beau, du Vrai, du Bien. Est « préludien » ce mouvement de l’âme.

Comment est fait et est structuré celui-ci ?

Ce site est composé d’articles accessibles selon plusieurs critères : par ordre chronologique sur la page principale, par catégories ou par mots-clés (étiquettes). Il est maintenu sous WordPress, un système de gestion de contenu, et repose sur plusieurs extensions, dont la principale est Blocksy, développée par CreativeThemes.

Les principales catégories sont accessibles via le menu situé en haut de la page, permettant de filtrer les articles correspondants. Une barre de recherche est également à votre disposition pour retrouver facilement un article. L’ensemble a été conçu pour être simple, clair et agréable à lire.

Qui est derrière son existence ?

Cette question importe peu.

Quelle est sa finalité ?

Partager ce que j’appelle des « fragments » : des textes allant d’une simple citation à des récits plus développés, choisis pour leur expressivité. Ces fragments couvrent des passages historiques, semi-historiques ou mythologiques, ainsi que de la poésie, des réflexions philosophiques, des fables et des exemples moraux.

L’objectif est aussi d’apporter des réflexions et de mettre en lumière des auteurs, des événements historiques, des courants artistiques ou des œuvres, à travers mes propres écrits. Qu’il s’agisse de portraits ou d’articles plus personnels, j’explore des sujets souvent méconnus ou, selon moi, insuffisamment exposés, en y apportant ma perspective et mon regard.

Quel type de contenu peut-on trouver ?

Le contenu du site est actuellement structuré en plusieurs sections :

  • Fragments : citations ou extraits d’œuvres marquantes par leur clarté, leur thématique ou leur expressivité.
  • Portraits : présentations d’artistes, de figures historiques ou mythologiques.
  • Articles : textes personnels explorant des faits historiques, des lectures, des découvertes, des curiosités, ainsi que des réflexions sur l’art et la culture.

Les grandes thématiques abordées incluent l’art européen et asiatique, l’esthétisme, les langues anciennes, l’archéologie, l’histoire, les exempla (récits brefs illustrant un modèle de comportement ou une morale), la poésie et la philosophie.

Quel contenu ne trouvera-t-on pas ?

Certains courants de pensée ou mouvements artistiques sont peu représentés sur ce site, comme le relativisme, le postmodernisme, l’essentialisme, l’empirisme, le nihilisme ou le scientisme. De nombreux autres sites sauront satisfaire votre curiosité et vous proposer des auteurs, des œuvres, des citations et des illustrations issus de ces courants.

L’actualité, même lorsqu’elle concerne les thématiques abordées ici, est également absente. Le contenu proposé se veut avant tout atemporel.

Quelle est la fréquence de publication ?

Le rythme de publication n’est pas fixe, mais l’objectif est de proposer un nouvel article chaque semaine.

Que représente l’icône du site ?

Les manuscrits anciens regorgent d’abréviations et de signes diacritiques. Parmi eux, la lettre « p » surmontée d’un macron, d’un mordant ou d’un gribouillis donnait « p̄ », une abréviation latine couramment utilisée pour les préfixes prae-, proe-, pre-. Ce même préfixe se retrouve dans « préludien », issu du latin prae (« devant, avant ») et lūdō (« jouer »).